La rédaction d’Entraid vous emmène à travers une série de 15 articles à la découverte de la production laitière néo-zélandaise. Un voyage d’étude rendu possible grâce à notre partenaire Agrilys spécialisé dans les voyages et formation professionnelle agricole à l’étranger. Cliquez sur le lien suivant pour voir le sommaire et l’intégralité des reportages Entraid’ réalisés en Nouvelle Zélande.
Formation professionnelle agricole : l’intérêt de se former à l’étranger
Parce que c’est le fournisseur du marché mondial du lait, cet archipel est la destination qui fait rêver les éleveurs laitiers. «Notre métier, c’est de proposer des voyages, avec la volonté de travailler sur des sujets qui intéressent le monde agricole, qui répondent aux questions qu’il se pose», argumente Claire Barneron, dirigeante associée de l’organisme qui se veut être «un partenaire du monde agricole».
L’agriculteur est plutôt de nature curieuse. Que celui d’entre eux qui n’a jamais regardé ce que faisait son voisin dise le contraire! Nous sommes d’accord, l’agriculteur est de nature curieuse. Et c’est une qualité. Grâce à elle, «on se forme et on s’informe», constate la dirigeante d’Agrilys qui prête deux intérêts aux voyages professionnels en groupe: «La rencontre avec les intervenants sollicités et les échanges à l’intérieur même du groupe» qui créent des relations ou renforcent la cohésion et enrichissent la formation.
Satisfaire sa curiosité naturelle est profitable
Car cette excursion en Nouvelle-Zélande, proposée par Agrilys et l’Idele, était bien une formation, dans un format certes innovant, mais avec «une vraie valeur ajoutée», est convaincue l’organisatrice. Chacun, en fonction de ses objectifs parfois insoupçonnés au départ, revient de ce genre de voyages «avec des idées et des éléments concrets», défend-elle encore.
Mais toutes ces acquisitions ne pourraient-elles pas se faire depuis son bureau ou son canapé? A l’heure d’internet, des slides et des visio-conférences? «Quand on est sur le terrain, on n’a pas la même approche», que devant une présentation qui reste plus théorique. Claire Barneron constate aussi qu’en sortant de chez soi «on devient acteur des rencontres», des informations que l’on génère et des analyses qui en découlent. La douzaine de stagiaires, dont trois éleveurs, qui est partie étudier la filière néo-zélandaise ne peuvent que confirmer cette observation.
Ne laissez pas passer la prochaine occasion de satisfaire votre curiosité avec les voyages et formations professionnelles agricoles à l’étranger !
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