Au cœur de la vie des élevages, des activités de cuma et donc du Salon aux champs, l’ensilage de maïs sera le sujet de démonstrations détaillées et soutenues par des témoignages et conseils d’experts. Le maïs fourrager représente un enjeu économique équivalent à 1000€ par hectare. Une stratégie pertinente est indissociable d’une attention particulière portée à la qualité, en premier lieu au moment de la récolte.
Ensilage de maïs
Deux démonstrations appuieront les conseils et témoignages. D’une part l’ensilage proprement dit, avec une machine de cuma et des ensileuses présentées par les exposants. Elles permettront de montrer ce qu’on peut obtenir en termes de hachage et de pulvérisation du grain. Et d’autre part la confection du silo, pour rappeler les critères essentiels à la conservation du fourrage.
Et luzerne pour les monogastriques
A côté des solutions innovantes d’implantation des couverts, de désherbage alternatif et des matériels spécifiquement liés aux élevages (voir la suite en images), le principe d’un outil de récolte fractionnée de la luzerne sera à découvrir sur l’atelier ‘autonomie protéique’. Il ne concerne pas que les ruminants.
Avec son Xpower, l’entreprise suisse Zasso propose une solution de désherbage électrique.
Chevance exposera sa gamme d’épandeurs Sniper, Leur précision est assurée par une pesée embarquée (option), un DPA et un tablier accompagnateur… (@Chevance).
Yanigav présentera son enfonce-pieux hydraulique à percussion Hydrochoc, installé sur un chargeur frontal. Cette technologie s’avère beaucoup moins dangereuse que les enfonce-pieux classiques ou l’emploi d’un chargeur (@Yanigav).
La société Trust’ing présentera le principe de la récolte fractionnée de la luzerne. D’un côté les feuilles, riches en protéines et valorisables par des monogastriques, de l’autre les tiges, riches en fibres. Une petite révolution en vue…
Le Maxi Couv a pour but de semer des couverts végétaux dans les céréales quelques jours avant la moisson. Ainsi, en avançant au maximum la date de semis l’idée est de bénéficier de l’humidité nécessaire à la germination.
Autre idée développée en Bretagne: semer le couvert en même temps que la céréale est moissonnée, toujours pour placer les graines dans le sol le plus frais possible (@Ronan Lombard).
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