Les secrets d’une cuma qui roule

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Les secrets d’une cuma qui roule

Baptiste Dion et Damien Vauthier ont, tous les deux, engagé la totalité de leurs SCOP (surfaces de céréales et oléo protéagineux) pour l’activité de travail du sol. Celle-ci regroupe tout un panel d’outils.

La cuma de Brévilly est l’une des plus vieilles des Ardennes. Elle a su évoluer progressivement et attirer de nouveaux adhérents. Plongeons dans ce groupe pour connaître comment leur organisation attire toujours.

De sept exploitations ardennaises adhérentes, la cuma de Brevilly atteint aujourd’hui 28. Une évolution de cuma progressive qui a dynamisé le groupe jusqu’à ces dernières années pour ainsi pouvoir proposer la quasi-totalité des équipements nécessaires à la polyculture et à l’élevage. « On peut tout faire à la cuma de Brévilly, lance le président, ravi. Nous avons du matériel de transport, de semis, travail du sol, fertilisation, pulvérisation, traction et même de récolte. Il manque juste un télescopique. » Ainsi, on peut compter 68 matériels.

Evolution de la cuma de Brevilly en quelques années

Si la cuma de Brevilly peut proposer autant de matériels c’est grâce à son dynamisme et à son histoire. Elle date de 1982 et a toujours développé ses activités au fur et à mesure des demandes des adhérents, progressivement. Mais il y a six ans, « nous avons vécu une grosse évolution de la cuma avec beaucoup d’entrées de nouveaux adhérents pour atteindre un chiffre d’affaires de 420 000 euros, se souvient Damien Vauthier. Depuis, notre groupe s’est stabilisé avec un chiffre d’affaires de 300 000 euros, avec toujours autant d’activités. »

Toujours dans la volonté de


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