D’un côté la presse et de l’autre l’enrubanneuse. C’était la méthode employée par la cuma. « Des chantiers qui nécessitaient une certaine organisation », se rappelle Guillaume Favier, trésorier de la cuma. « Certains adhérents prenaient le service complet, d’autres voulaient enrubanner eux-mêmes avec le matériel de la cuma ou leur propre matériel. Des chantiers où il fallait prévoir de faire suivre l’enrubanneuse, d’autres pas. Il pouvaient parfois se passer plusieurs heures entre le pressage et l’enrubannage. Les bottes étaient déformées et au final, le travail était mal réalisé. »
Un service complet presse enrubanneuse mais avec deux chauffeurs
Même si la majorité des adhérents
