Une visite au dernier salon Intermat rappelle combien le graissage centralisé intéresse les professionnels de la construction. En effet, au moins trois exposants proposaient un produit. Cette solution tranquillité existe aussi dans l’agricole, souvent en option. Mais un rétro-équipement demeure possible. Avantages : pas d’oubli, un apport de graisse en petite quantité et à fréquence élevée, en fonction du travail effectivement réalisé. Une alarme de bol vide peut s’y ajouter, ce qui n’empêche pas un minimum de surveillance de la part de l’utilisateur.
Même sur une charrue
Hydrokit est la marque la plus connue dans ce domaine. L’entreprise vendéenne distribue la marque Lincoln, pour le huilage, ou le graissage. La pompe de graissage est électrique, ou asservie à un mouvement hydraulique (pour une charrue ou un chargeur, par exemple).
Mini-centrale de graissage centralisé sur pile
Beka est également présent dans l’agricole, en monte optionnelle d’origine et en rétro-équipement. L’entreprise exposait à Intermat un ensemble de graissage centralisé de pont avant pour tracteur (photo en début d’article). Elle peut aussi offrir du simple regroupement de points de graissage et une mini-centrale sur pile pour un seul point d’injection.
Un bol « incassable »
Lubecore, société canadienne, s’implante en Europe. La marque revendique une résistance aux températures extrêmes et un bol à graisse « incassable ». Elle propose des systèmes multipoints, mais également pour un seul graisseur. Ils reçoivent un entrainement électrique, avec un pot de 2 à 20 kg de graisse. Autre choix : activation par un mouvement sur un circuit hydraulique, mais avec une cartouche de 400 g.
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