À 3000 km de l’hexagone, l’usine finlandaise de Valtra à Suolahti fabrique les transmissions des séries de tracteurs N et T. Désormais, ce site produit également des transmissions CVT AGCO (groupe comprenant les marques Fendt, Massey Ferguson, Valtra, Challenger, etc). En effet, depuis le mois de février, la firme profite de l’agrandissement de ce site situé dans le centre de la Finlande pour mettre en route la production de ses transmissions à variations continues. « L’agrandissement de l’usine Valtra de transmissions de Suolahti a été achevé dans les délais, apportant des milliers de mètres carrés de nouvel espace de production. Cet investissement majeur modernise la production et améliore les conditions de travail », communique le groupe.
Une capacité de production de transmissions CVT doublée
Jusqu’à ce début d’année, l’usine produisait des boîtes de vitesses pour les tracteurs des Séries N et T et fournit des transmissions pour le marché sud-américain ainsi que des composants pour d’autres installations de production d’AGCO. Avec l’agrandissement, le groupe américain élève sa capacité de production de boîtes CVT. Il introduit aussi un nouveau banc d’essai de boîtes de vitesses des Séries Q et S. Ce qui « facilite la production de tracteurs plus performants et répond à la demande croissante des clients ».
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Selon AGCO, la capacité de production précédente des transmissions CVT du groupe n’était pas suffisante pour répondre à la demande croissante en tracteurs Valtra et d’autres marques AGCO. Stratégique, cet investissement en Europe intervient alors que la technologie CVT gagne du terrain et constitue un levier de croissance important. Cet investissement permet au groupe de doubler sa capacité de production de transmissions CVT.
Du virtuel au démarrage de la production dans l’usine Valtra de Suolathi
Pour accélérer et sécuriser la production, AGCO dit avoir utilisé une technologie précise dans son projet d’expansion. En effet, la nouvelle installation de production a été conçue en utilisant un jumeau numérique. Ce qui a pour effet de pouvoir simuler à l’avance la production. Les installations finales des systèmes d’usinage sont terminées, fini le virtuel, place au réel.
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