Idée reçue 2: L’herbe n’est pas un levier efficace pour améliorer l’autonomie protéique

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Idée reçue 2: L’herbe n’est pas un levier efficace pour améliorer l’autonomie protéique

Le pâturage est le levier prioritaire pour gagner en autonomie protéique. Il demande cependant d’avoir suffisamment de prairies proches du bâtiment d’élevage, des accès stabilisés et une gestion des paddocks rigoureuse (©Ronan Lombard).

L’herbe offre de vraies opportunités de production des protéines fourragères. L’éleveur qui fauche avec l’idée de maximiser la qualité de sa récolte sécurise déjà sa réussite. Et avec le pâturage, la prairie compile l’argument économique.

Miser sur la culture d’herbe est le premier levier à actionner sur l’élevage de ruminants qui veut maximiser son autonomie protéique. Et avec le pâturage, elle devient imbattable sur le plan économique. C’est la valorisation de l’herbe la plus simple et la moins coûteuse. La vache (dans le cas des élevages bovins) fait le travail. En même temps qu’elle résout les problèmes liés aux chantiers de récolte, à la conservation et à la distribution, elle réalise gratuitement l’épandage d’engrais organique. Magique !

La qualité, facteur déterminant

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