Les activités autour de la fenaison ont été créées il y a une douzaine d’années avec déjà trois renouvellements de matériel à la cuma de Livernon. Crée au départ suite à un besoin lié au manque de main-d’œuvre, et une augmentation de la taille des exploitations et aussi les fenêtres d’interventions parfois très courtes.
Le parcellaire morcelé peut ralentir légèrement les débits de chantiers. Mais ce matériel coûteux, très technique et surtout de grande largeur nécessite d’être conduit par un salarié, afin d’éviter les problèmes de casse et de mauvaise utilisation.
Ainsi, il faut une organisation rigoureuse pour bien répondre aux demandes des adhérents, souligne Michel Capus trésorier de la cuma.
De l’équipement au top pour un chantier au top
Comme nous confie Antonin un des chauffeurs: «Grâce au GPS et a l’autoguidage du tracteur, la fauche est régulière ainsi que la découpe des parcelles, nous facilitant le ramassage, quand c’est de l’ensilage. De plus grâce au GPS on connaît la superficie exacte de chaque parcelle et on facture au plus juste l’adhérent.»
Un équipement performant qui permet un bon débit de chantier et une réponse réactive à la demande des adhérents dans l’ordre d’appel. Tout le monde est gagnant à la cuma de Livernon et les tracteurs tournent toute la journée grâce aux rotations des salariés.
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