« Pour ma première récolte en 2018, même les anciens me disait que je ne reverrais peut-être pas une année aussi exceptionnelle. Mais j’espère que je ne reverrais pas une année comme 2019. » Comme dans beaucoup d’autres secteurs, la vigne a souffert du manque d’eau.
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« Nous avons ramassé des baies avec très peu de jus et nous avons des rendements qui sont autour de 30 hl/ha. En revanche, c’est une année où les traitements contre le mildiou ont été divisés par deux, avec tout de même une assez forte pression de l’oïdium. 2017 mauvaise année, 2018 exceptionnelle, 2019 catastrophique. Il n’y a plus de régularité, et c’est difficile d’avoir de la visibilité dans ces conditions. »