Pour la récolte de betteraves, si la conversion à l’intégrale est une tendance évidente, elle n’est toujours pas un passage obligé. Témoignages de cuma à l’appui, issus de l’édition spéciale départementale Aube.
La cuma de Vallant Saint Georges a acheté en janvier 2014 une des premières intégrales du secteur (page5).
La cuma de Faux Villecerf, après être passée à l’automotrice, est revenu sur son choix et trouve plus d’avantages à pratiquer en deux chantiers décomposés (page 7).
La cuma de Chanteraine (Marne) pratique l’arrachage à l’automotrice depuis 1980. En partageant sa machine avec les voisins de la cuma d’Attila (page 7).
Sans oublier que les sucreries sont attentives à l’arrachage, et que la propreté des betteraves, estimée en tare-terre, valorise le travail au champ et conditionne le prix. Exemples des coopératives Tereos et Cristal Union (page 9).
Ces articles sont issus de l’édition départementale Entraid’ spécial Aube, parue en octobre 2015, à lire en intégralité ici.
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