Mélanie Gelot a rejoint l’exploitation de son père Claude Manceny en 2016, ce dernier ayant pris sa retraite en janvier 2024. La cheffe d’exploitation est à la tête de 1000 ha en cultures de tournesol, blé, orge, maïs ensilage et d’un troupeau de bovin allaitant en Limousine et Charolaise. Pour faire tourner l’exploitation, elle s’appuie sur sept salariés au total, assurant quant à elle toute la gestion administrative.
« Nous sommes fidèles à la marque Shell pour plusieurs raisons »
Le parc matériel est assez conséquent : moissonneuse, ensileuse, presses, semoirs, tout le matériel de récolte des fourrages, de travail du sol, d’élagage… Avec une dizaine de tracteurs. Ici, on comprend donc que la question des lubrifiants est quelque chose de primordial. « En général, on renouvèle le matériel tous les quatre à cinq ans, et le choix des lubrifiants compte beaucoup sur l’usure du matériel », explique Mélanie Gélot, qui se fournit depuis une vingtaine d’années en lubrifiants Shell auprès de son distributeur Lubexcel pour tout ce qui concerne les huiles et la graisses. Et l’agricultrice d’ajouter : « Nous sommes fidèles à la marque Shell pour plusieurs raisons : le rapport qualité – prix, la disponibilité, la réactivité de notre distributeur et nous sommes sensibles aussi à l’aspect multifonction ». L’exploitation se fournit donc en huile pour les moteurs, mais aussi en huile pour les transmissions et certaines huiles spécifiques pour les télescopiques, pour une consommation d’huile moteur d’environ 2000 l par an.
« Un gain économique et environnemental »
Du tracteur à la moissonneuse batteuse, en passant par les engins de levage, le secteur agricole compte de nombreuses machines et nécessite des besoins en lubrifiants très différents du moteur à l’hydraulique en passant par les transmissions. La complexité des engins est de plus en plus élevée, notamment pour répondre aux enjeux environnementaux, et pousse les motoristes à baisser les impacts CO2. « Tout cela complexifie le choix de l’agriculteur et le premier avantage de Shell pour les consommateurs, c’est de proposer une gamme assez réduite de produits qui sont très polyvalents », souligne Stéphane Cormier de Shell France. Il précise également que tous les produits sont homologués et permettent ainsi la garantie constructeur.
Une économie de 3800 euros
Autre fait marquant qui plaide en faveur de la marque, les formulations de produits finis en huile moteur ou transmission sont faites avec des huiles de base de très haute qualité. Ce qui a un impact direct sur l’usure, l’oxydation et sur toute la protection inhérente aux systèmes de dépollution des moteurs. Enfin, « un gros travail a été mené avec des produits de plus en plus techniques et fluides en vue de limiter la consommation de carburant, ce qui apporte un gain économique et environnemental », plaide encore Stéphane Cormier.
A titre d’exemple, un client de Shell, en Serbie, à la tête d’une flotte d’une quinzaine de véhicules, qui est passé à une huile moteur plus technique et a souscrit à un service d’analyse de l’huile, a pu augmenter son intervalle de vidange de 60 % (soit de 250 h à 450 h). Avec à la clé une économie de 3800 euros, tout en passant plus de temps dans les champs.
Du côte du distributeur Lubexcel, André Michaud met en avant la réactivité de son réseau de concessions agricoles, « pour répondre à toutes les attentes des clients, grâce à notre support technique ou le prêt de matériels comme les cuves avec des jauges à distance qui donnent plus de souplesse aux agriculteurs ».
Cet article est sponsorisé par Shell.