Le cheval est en effet sollicité aujourd’hui dans des travaux où le tracteur trouve des limites, comme le débardage en forêt ou la fauche en zone humide.
Il est aussi préféré au tracteur, par exemple pour des questions de respect du sol, par quelques viticulteurs et maraîchers. Enfin, des collectivités font désormais appel à des chevaux pour le ramassage scolaire, la collecte des déchets ou l’entretien du paysage. On parle même de « cheval territorial », sous les ordres d’un « meneur terrotirail ». Et qui dit chevaux, dit paille et foin, autrement dit des débouchés nouveaux pour l’agriculture.
Voir notre article précédent sur une cuma de traction animale.
Ce collier de travail fabriqué par Stéphanie Boudin (AFH) est en fonte d’aluminium et mousse à mémoire de forme. Léger, solide, réglable et confortable pour l’animal.
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Une benne basculante hydraulique. | |
Une bineuse dernier cri, avec socs plats et moulinets de type « Kress ». Le guidage est toutefois manuel (pas de GPS RTK !). | |
Un avant train doté d’un siège à suspension et d’un troisième point hydraulique pour le cultivateur. | |
Un matériel américain( Pioneer Equipment) car là bas aussi on utilise des chevaux, mais souvent en attelages de 2 ou 4. Tout est plus grand en Amérique… | |
Ce prototype de mancheron amélioré est l’œuvre de l’association Hippotese, qui cherche notamment à moderniser les outils destinés aux chevaux. Elle collabore parfois avec l’association Adabio (autoconstruction de matériels agricoles). | |
Plus simple : l’animal peut servir simplement à porter la bonbonne de gaz pour les travaux de désherbage thermique. |