Depuis 10 ans qu’il travaille à la cuma de Ballots (53), Steve Courcelle constate une permanente remise en question. Le besoin de formation continue est nécessaire. Avec l’accroissement de la surface des exploitations, la demande en chantier complet augmente. Il a aussi vu arriver les nouvelles technologies. L’autoguidage des tracteurs, la gestion de bout de fourrière, la modulation de dose… il ne s’en passerait plus aujourd’hui.
Prendre en compte les attentes agricoles
En plus de l’aspect technique de son travail, Steve Courcelle apprécie l’ambiance avec les adhérents. L’écoute mutuelle et la patience sont des qualités importantes pour travailler dans de bonnes conditions. En conclusion, le salarié de cuma indique qu’un jeune qui a envie de choisir cette voie doit avoir envie d’être autonome, d’accepter de se former régulièrement, en mécanique, mais aussi à propos des techniques culturales.
Alors qu’il s’aperçoit que l’organisation se complique au fil des ans, à mesure que le temps mort entre les saisons se réduit de plus en plus, Steve Courcelle alerte surtout les candidats au métier vis-à-vis des exigences liées à l’activité agricole (horaire et saisonnalité du travail).
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