Nous sommes une cuma sans salarié et les matériels sont placés au hangar», explique Yohann Orvan, le président. En 2010, le responsable des épandeurs, Eric Bourdonnec, était fatigué par le lavage des épandeurs : «Ce sont toujours les mêmes qui les lavent.» Pour cette raison, il a fait appel à un prestataire (qui fait des lavages de bâtiments agricoles).
Maintenant, tous les ans au mois de décembre, une journée est fixée pour le lavage des deux épandeurs et des quatre remorques avant le remisage. «Le prestataire facture 370 € la journée et il nous reste à prévoir une cuve de 2 000 l d’eau.» Les épandeurs sont ensuite déposés chez le concessionnaire pour la révision.
De plus, ayant des soucis de remise en état des semoirs céréales et maïs, la cuma a décidé de faire appel à un salarié de la cuma Agribocage d’Iffendic. «Nous avons déjà les ensileuses en copropriété avec la cuma, nous connaissons bien le salarié, Stéphane.»
En 2013, ils ont commencé par la révision des semoirs à maïs. En 2015, ce sont 40 heures d’entretien en début d’année et même de la conduite pour de l’épandage de fumier et du travail du sol pour une quarantaine d’heures aussi. La cuma Agribocage facture 24 €/h la main-d’œuvre.
Pourquoi confier le lavage des matériels à un prestataire ? • valoriser le salarié pendant la période hivernale • soulager les responsables de matériels • faire des économies par rapport à la main-d’œuvre concessionnaire • et surtout avoir le matériel en ordre en début de saison • satisfaction des adhérents |