« La recharge a débuté précocement dès octobre et s’est généralisée à l’ensemble des nappes en novembre », indique le BRGM dans son bulletin mensuel. « Les pluies efficaces ont été particulièrement importantes durant l’automne et le mois de décembre se caractérise par une forte remontée des niveaux », précise-t-il.
Plusieurs maxima historiques ont même été enregistrés en Adour-Garonne durant ces deux derniers mois », tandis que « la situation est moins favorable sur les nappes du couloir rhodanien », qui accusent toujours les déficits pluviométriques de ces dernières année, précise le BRGM.
Des nappes sont à un niveau haut en Bretagne, sur la côte d’Azur et en Corse.
Les niveaux des nappes restent en revanche « stables et bas » en Alsace au sud de Colmar, à cause d’une « pluviométrie déficitaire en décembre ». De même, des nappes en Bourgogne et sur le Rhône restent affectées par « les déficits pluviométriques successifs depuis 2017 ».