Main-d’œuvre partagée : un enjeu prioritaire pour l’agriculture et les cuma

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Main-d’œuvre partagée : un enjeu prioritaire pour l’agriculture et les cuma

Samuel, salarié à la cuma du Ronceau

Indiscutablement, la main-d’œuvre qualifiée va manquer. Le mouvement générationnel est en marche et ne fait que de s’accentuer. Les exploitations évoluent et se diversifient. Focus sur deux cuma employeuses, où l’organisation et les besoins sont différents.

La main-d’œuvre coûte cher. Depuis longtemps, les cuma loirétaines partagent des matériels et des bâtiments. Certains groupes décident aujourd’hui de sauter le pas et de partager aussi un salarié. C’est le cas, notamment, pour deux cuma loirétaines, celles du Ronceau et de la Trézée.

Main-d’œuvre partagée à la cuma du Ronceau

La cuma du Ronceau est indissociable du paysage agricole loirétain. Avec ses 55 adhérents, ses deux moissonneuses-batteuses, ses trois semoirs, ses six tracteurs et son bâtiment, elle a su répondre aux différents besoins des agriculteurs de son secteur. L’arrivée d’une main-d’œuvre pérenne au sein de la coopérative conforte ce dynamisme.

Ainsi, fin 2019, Samuel rejoint la

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