Samuel Collin travaille avec son père et deux salariés sur la ferme de la Grivée située à la limite entre les Vosges et la Haute-Marne (190 ha de cultures biologiques et un atelier d’engraissage de bovins bio). Auparavant utilisateur d’un semoir monograine rapide d’une autre marque, Samuel Collin était au départ un peu méfiant vis-à-vis du semoir Horsch. Aujourd’hui, il en est convaincu, « il n’y a pas mieux, le Maestro 12 CV est très simple à utiliser. »
« Tout le monde est capable en 15 minutes de semer avec le Maestro CV »
En outre, « il n’y a plus de tarage à faire pour les caissons de céréales, on entre une densité et la machine sème à la dose prévue. » Il ne reste que le tarage de la cuve à engrais à prévoir. De même, le changement de disque de sélection est simple, avec des vis à tourner d’un quart de tour. Même confort au niveau de l’entretien de l’outil avec peu de points de graissage.
Samuel Collin travaille avec son père et deux salariés sur une exploitation bio de type polyculture élevage à Breuvannes-en-Bassigny (52)
L’autre gros point fort du Maestro CV est bien sûr « la qualité de semis. La graine est bien implantée, même en terrain sec, et on observe peu de doublons et de manquement ». En complément l’élément semeur Horsch offre une belle polyvalence avec une pression pouvant aller de 150 à 350 kg pour faire du semis direct par exemple. « Il y a aussi un mode automatique dans lequel le Maestro CV adapte la pression de l’élément semeur aux conditions rencontrées. »
Une bonne qualité de semis jusqu’à 15 km/h
Samuel Collin apprécie également la vitesse de travail de ce semoir. « Au début, nous nous limitions à 8-9 km/h, mais il est tout à fait possible de semer à 15 km/h tout en conservant la qualité de semis. » En 2023, il a attelé le Maestro 12 CV à un tracteur 4 cylindres de 140 ch pour semer ses 32 ha de tournesol. « Une puissance suffisante. » Un chantier réalisé en 8h avec une consommation moyenne de 7,5 l/ha.
Selon Samuel Collin, la qualité du guidage caméra est le gros point fort de la bineuse Horsch Transformer 6 VF.
Une semaine après les semis, Samuel Collin utilise un autre outil Horsch pour favoriser le développement de ses cultures : une bineuse Transformer 6 VF. « Cette bineuse dispose d’un guidage caméra très performant. » Il souligne toutefois l’importance du bon paramétrage de la caméra, une opération qui s’est révélée délicate les deux premières campagnes. « Il est aussi important de biner tôt les tournesols au stade cotylédon. »
Guidage 2D ou 3D pour la Transformer VF
A noter, la bineuse peut fonctionner selon deux types de guidage : 2D (se repère par rapport aux rangs de la culture par différence de couleurs) ou 3D si la parcelle est sale (se repère selon la différence de hauteur entre la culture plus haute et les adventices).
De plus, la Transformer VF se révèle elle-aussi facile à régler et performante. « La qualité de binage est au top et Horsch est plutôt gourmand en ferraille dans la conception de ses outils » s’amuse Samuel Collin, « ce sont des outils qui tiennent dans le temps. » Il précise avoir par exemple biné ses 40 ha de colza en une journée (13h) avec un tracteur de 120 ch en boîte méca en consommant au total 120 litres de GNR.
