Les relations de travail entre la cuma des éleveurs du Tremblay et la cuma de la Verzée de Bourg d’Iré concourent à la pérennité de leurs activités stratégiques. C’est vrai pour la moisson, pour les tracteurs, et cela s’est encore confirmé cette année particulièrement pour l’ensilage. En effet, la cuma des éleveurs du Tremblay devait concilier le renouvellement de son automotrice avec une réduction de la surface annuelle à récolter. La cuma, d’une cinquantaine d’adhérents, sollicite déjà le tracteur de sa voisine pour 150 heures par an, en complément de son parc de trois tracteurs. Pour la cuma de la Verzée de Bourg d’Iré, cela correspond au volume dont elle avait besoin pour faire perdurer son activité tracteur.
500 ha pour une qualité de service accrue
C’est dans ce contexte que cinq adhérents du groupe de Bourg-d’Iré ont apporté leur surface de maïs à récolter dans l’activité du groupe d’Ombrée-d’Anjou, soit une centaine d’hectares. «La baisse du nombre d’hectares concernait essentiellement le maïs», précise le président Bertrand Delanoë. Ainsi, la cuma des éleveurs du Tremblay est propriétaire d’une John Deere 8400 en huit rangs, dotée du HarvestLab depuis le 31 juillet.
Plus d’informations dans le prochain supplément maïs d’Entraid