Qualité de l’eau en question
Réduction de doses inefficaces
De son côté, l’AGPM (association des producteurs de maïs) ainsi que les autres filières végétales ont fait savoir « leur inquiétude face aux retraits successifs des molécules essentielles à la production agricole et au maintien de filières compétitives », annonce-t-elle dans un communiqué commun.
Alternative mécanique
Ensemble, ils appellent l’ANSES, en l’absence de risque sanitaire avéré, « à inscrire son action dans le pas de temps des autorités européennes pour éviter toute concurrence inéquitable entre les agriculteurs français et leurs voisins. » Comme peuvent le connaître les betteraviers suite à l’interdiction de l’utilisation des néonicotinoïdes. Ou encore d’autres productions.
S’il existe bien des méthodes mécaniques pour détruire les adventices, « son usage n’est pas possible pour tout type de culture notamment en maïs doux, maïs semence, tournesol et soja, rappellent les producteurs. Et il représente une solution nettement moins efficace et plus coûteuse. »
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