Les raisons sont multiples : résistance des adventices aux désherbants, manque de molécules homologuées pour certaines espèces cultivées (protéagineux, légumes). Et surtout choix de réduire les quantités d’herbicides. C’était déjà le cas en agriculture bio (on réduit à zéro), mais d’autres prennent également le chemin : bassins versants à préserver, Ecophyto 2018, risque santé pour l’opérateur, etc.
Les événements consacrés au sujet se multiplient. Trois exemples récents : colloque national « Désherbage mécanique, des solutions à partager » (Rennes, décembre 2011), journées régionales « Désherb’Sol » (Yonne, septembre 2012), journée régionale « Etre efficace avec moins de phytos » (Maine-et-Loire, novembre 2012). Cette dernière a largement alimenté le dossier de décembre 2012 du mensuel Entraid’.
Toutes les interventions sont en ligne sur le site des organisateurs. C’est aussi le cas pour Désherb’Sol et le colloque de Rennes.
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