Ces nouvelles images, filmées entre novembre 2015 et mai 2016 et commentées par l’humoriste Rémi Gaillard, montrent « des actes de maltraitance, des violations de la réglementation et des animaux en grande souffrance au moment de leur mise à mort », décrit l’association de défense des animaux dans un communiqué.
« À l’abattoir de Pézenas, les chevaux sont parfois tirés au treuil jusque dans le box d’abattage. (…) Les cochons reçoivent des chocs électriques avant d’être vraiment insensibilisés. L’abattage rituel des bovins et des moutons donnent lieu à des images cauchemardesques », poursuit L214. « À l’abattoir du Mercantour (à Puget-Théniers, ndlr), les conditions d’abattage des bovins sont moyenâgeuses », ajoute-t-elle encore. L’association a annoncé avoir porté plainte pour maltraitance et actes de cruauté contre les deux établissements, qui ont tous les deux fermé leurs portes mercredi sans avoir réagi à la diffusion des images de L214.
Des vidéos pour la plupart obsolètes
La préfecture de l’Hérault a toutefois mis en cause les images diffusées de l’abattoir de Pézenas, assurant que « la plupart des vidéos
