Philippe Coupard, directeur de la section Sarthe de l’Union indique que « ce que les exploitants connaissent bien, ce sont les annuités. Par contre, l’addition des autres coûts (carburant, assurance et surtout entretien) est rarement faite, ce qui explique que 85% des personnes interrogées ne connaissent pas le prix de revient de leur tracteur. Mais d’un autre côté, est-ce que chaque personne connaît le prix de revient de sa voiture ? » s’interroge-t-il. Il note également le délai de réflexion, relativement court (3 mois) pour un investissement aussi important qu’un tracteur, et la sous-valorisation des gros tracteurs, utilisés moins de 350h par an dans la moitié des cas. Philippe Coupard souligne l’opportunité des achats en cuma pour ce type de tracteurs.
Etude disponible ici ou sur le site de l’Union des cuma des Pays de la Loire