Sur ces technologies en émergence, les bénéfices sont multiples, à la fois pour les utilisateurs et le constructeur. Rolland Grenouilleau, trésorier de la cuma des Grands Cèdres (et président de la fdcuma de Gironde) assistait à ce moment d’échange avec Karnott.

Rolland Grenouilleau (intervenant ici) est trésorier à la cuma des Grands Cèdres, laquelle travaille avec deux de ses voisines en intercuma à l’aide d’une flotte d’une trentaine de boîtiers Karnott.
“Nous sommes très demandeurs de ce type d’événement, indique-t-il. Les nouvelles technologies comme les boîtiers Karnott ouvrent de très nombreuses possibilités, que nous n’exploitons pas tous à fond. Nous nous sommes rendus compte que chacun l’utilise différemment et cela nous donne des idées. Ces échanges ouvrent beaucoup de perspectives.”
Dans cette zone viticole, certains utilisent par exemple les boîtiers pour localiser leur flotte de pulvérisateurs et organiser les approvisionnements. D’autres, comme les prestataires, en font un outil de traçabilité qui leur permet de pouvoir prouver le déroulement d’une intervention.
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Un compteur Karnott, version 2019.
Ces échanges aboutissent parfois à des demandes de nouvelles fonctionnalités, comme de signaler par SMS le délai de réentrée dans une parcelle. Ces échanges permettent à tous, utilisateurs et constructeurs, de progresser concrètement.