
Pascaline de Rop, conseillère à Cerfrance Alliance Comtoise.
Dans le Jura, constatez-vous une différence de revenu entre les exploitations en cuma et celles qui ne le sont pas ?
Dans la zone céréalière du Jura, la majorité des structures vont de 90 à 120 ha. Dans ces conditions, les coûts de mécanisation sont forcément élevés, donc pénalisants ! Les adhérents qui fonctionnent en Cuma, malgré des petites structures, arrivent à s’en sortir. C’est particulièrement vrai pendant les années difficiles.
Quelle est la place des cuma dans l’esprit de vos clients ?
