Grandes cultures : la cuma pour doper son revenu

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Grandes cultures : la cuma pour doper son revenu

Dans le Jura, les exploitations spécialisées en grandes cultures ont tout à gagner à mettre leurs moyens en commun.

Au fil des ans, les cuma se font plus discrètes en grandes cultures, dans le Jura. Elles ont pourtant encore toute leur raison d'être. Surtout après trois "mauvaises" campagnes. Le point de vue de Pascaline de Rop, conseillère à Cerfrance Alliance Comtoise.

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Pascaline de Rop, conseillère à Cerfrance Alliance Comtoise.

Dans le Jura, constatez-vous une différence de revenu entre les exploitations en cuma et celles qui ne le sont pas ?

Dans la zone céréalière du Jura, la majorité des structures vont de 90 à 120 ha. Dans ces conditions, les coûts de mécanisation sont forcément élevés, donc pénalisants ! Les adhérents qui fonctionnent en Cuma, malgré des petites structures, arrivent à s’en sortir. C’est particulièrement vrai pendant les années difficiles.

Quelle est la place des cuma dans l’esprit de vos clients ? 

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