Choix 1 : Salarier l’artisan retraité
Cette activité de réparation de matériels agricoles est un nouveau métier. En interne, les compétences en mécanique, hydraulique et petite chaudronnerie n’existent pas. La première option à l’étude est de salarier à temps partiel le cédant, pour accompagner la structure en termes d’organisation de l’atelier, de relations commerciales et de formation, le temps qu’un employé formé et compétent soit embauché.
Choix 2 : Embaucher d’emblée un salarié compétent
Le deuxième choix à l’étude concerne l’embauche directe d’un salarié compétent et expérimenté en CDI à temps plein. Cette option présente un risque financier important avec le démarrage d’une activité inconnue de la cuma, et sans la certitude de conserver le portefeuille clients de l’entrepreneur retraité.
Choix 3 : Entreprendre des démarches commerciales, puis recruter
Une troisième option s’offrait au groupe: avancer prudemment dans cette diversification en proposant aux clients, agriculteurs ou non, adhérents ou non, des prestations basiques dans un premier temps. Mener en parallèle un travail de développement commercial et embaucher une personne avec des connaissances de base, prête à se former. Ensuite élargir peu à peu la gamme de prestations.
Et vous, qu’auriez-vous fait ?
Pour savoir comment la cuma a procédé, découvrir quelles solutions le groupe a trouvées face aux difficultés qu’il a rencontrées, rendez-vous dans le mensuel Entraid de février 2018. Si vous ne le recevez pas, abonnez-vous.