La générosité pourrait souffrir d’une société qui pousse avant tout à réussir et consommer. Pourtant, elle demeure une valeur bien vivante. Le reportage à la cuma de Chabrières (p. 56 et 57) d’Entraid de novembre 2016 nous rappelle que les membres d’un groupe sont encore capables de donner du temps, et pas qu’un peu, pour un collègue en difficulté.
Economie collaborative
L’enquête sur le crowdfunding, ou financement participatif (p. 32 à 38), va plus loin. Elle nous apprend que des particuliers donnent aujourd’hui de l’argent pour financer des projets agricoles qui leur parlent, qui correspondent à leurs valeurs, alors qu’ils n’en connaissent pas les protagonistes. La satisfaction d’avoir contribué à un projet qu’ils jugent intéressant suffit pour qu’ils ouvrent leur porte-monnaie.
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Simplement cadeau
Dans les cuma, générosité et solidarité sont régulièrement mises à contribution, mais elles trouvent aussi des limites. Les exploitations des adhérents sont des entreprises, qu’ils se doivent de gérer avec rigueur, autant que leur coopérative. La solidarité ne peut pas reporter indéfiniment le bon règlement des factures. Les responsables ont les outils pour y veiller (p. 40 et 41).
La vidéo de ce reportage est à retrouver en ligne sur www.entraid.com.
Encore décalé allez-vous dire, la double page photo vous invite dans les stands d’un circuit pour découvrir les performances de deux monstres de puissance… Le tout pour évoquer l’homologation T1B du Fastrac 8330. Passage à 65 km/h.
Retrouvez l’ensemble des compléments techniques, juridiques et vidéos dans notre dossier Entraid Magazine Novembre 2016.
Bonne lecture.
Pascal Bordeau et Pierre Criado
