L’appareil est sous la responsabilité d’un adhérent. « Notre but n’est pas de court-circuiter les vétérinaires mais d’avoir avoir accès plus aisément à ce service » précise Jean Michel Danger, le Président de la cuma et utilisateur de l’appareil pour ses vaches laitières. La maîtrise de l’échographe demande quelques connaissances préalables, du savoir–faire et de du doigté. Les adhérents échangent leur expérience et leurs conseils sur le sujet. Jean–Michel Danger préfère procéder par petits lots successifs. L’essentiel étant de renouveler cette opération assez régulièrement pour se faire la main et progresser dans la technique.
L’appareil de marque ECM acheté 4000 € devrait pouvoir être rentabilisé sans difficulté compte–tenu des performances zootechniques qu’il apporte en matière de maîtrise de la fécondité.