Cette machine à vendanger traînée va en effet évoluer sur 100 ha de surface à récolter. A aussi pesé dans la balance le coût de maintenance pour un temps de travail limité.
Ces critères -coût, entretien, temps de travail- ont été jugés insuffisants pour justifier un investissement supérieur aux 100000€ qu’a coûté la machine à vendanger Grégoire traînée que se partagent 10 adhérents.
Avantages et inconvénients s’équilibrent.
Les inconvénients? L’encombrement supérieur à l’automotrice qui demande des manœuvres un peu plus délicates pour tourner.
Pour les avantages, économie sur le prix d’achat mais également un outil dégagé d’assurance, celle du tracteur incluant les outils traînés.
De plus le temps de récolte est le même que celui d’une récolteuse automotrice.
L’inconvénient du gabarit est largement tempéré par les relations inter-Cuma avec la Cuma du Bésajou qui dispose de trois automotrices.
L’une des automotrices du Bésajou assure la récolte dans les parcelles un peu compliquées pour manœuvrer et en contre partie, la Grégoire de La Forêt intervient sur d’autres vignes plus faciles du territoire de la Cuma du Bésajou.
Belle démonstration de partenariat et d’entraide.