La demande est venue des adhérents aussi bien en agriculture bio qu’en conventionnelle. Si pour les premiers, le désherbage mécanique est un passage obligé, il y a aussi de la part des seconds une volonté d’aller vers des changements de pratiques.
Avoir un service complet
Avant d’investir, la Cuma souhaite naturellement voir travailler différents matériels. Pour cette première démonstration, la société Garford est intervenue avec une bineuse dotée d’un guidage par caméra. Les 4 rangs de l’outil avaient des équipements différents. Cela a permis de comparer le travail sur un maïs au stade 3 feuilles. Pour les adhérents participants à la démonstration, le binage est à envisager uniquement en service complet : tracteur / chauffeur / bineuse. L’organisation des chantiers est pointue et demande un planning rigoureux et une observation quasi quotidienne de l’avancement des stades des adventices.
L’activité pourrait démarrer l’année prochaine après l’essai de plusieurs matériels et en fonction des engagements.