La der avant l’événement. Le président Nogues l’annonçait en ouverture des réunions de travail : « cette journée du 3 avril est la dernière journée plénière de préparation des ateliers du Salon aux champs 2019. » Dans les salles agencées pour les accueillir, les équipes qui planchent sur les présentations, démonstrations et expositions ont mis en rang leurs idées. La suite des travaux, ce sera au champ pour l’implantation des vitrines, collections et autres micro parcelles de démonstration, sur le site qui jouxte le siège du gaec Pevar Den.
Le troupeau attend de sabot ferme
Sur plus d’une vingtaine d’hectares disponibles, c’est une surface d’environ sept hectares qui sera allouée au maïs. En plus de l’atout d’avoir des silos à proximité pour aborder, au pied du tas en construction, les questions relatives à la conservation, le Salon 2019 laisse donc un terrain de jeu appréciable aux cinq à six ensileuses attendues pour parler, entre autres, de qualité de la récolte et répondre au cas pratique proposé par ce gaec bien réel aux exigences tout aussi réelles.
Comité d’organisation le 18 juin pour les bénévoles
Si sur le fond, les idées sont déjà bien semées et alignées, il reste aux organisateurs à aiguiller les forces locales qui assureront la logistique des 18 et 19 septembre. Stéphane Nogues appelle les responsables de cuma locales à participer au 18 juin, date de la prochaine réunion préalable au salon spécialement dédiée aux bénévoles qui s’impliqueront pour son bon déroulement. Ce 3 avril, Jean-Pierre Gouvary, président de la cuma la Broonaise se montrait déjà confiant sur l’aptitude de l’agriculture locale d’être à la hauteur de l’événement : « ici, on sait recevoir ! » Le parfum particulier qui flottait dans le bourg de Broons en ce jour de visite du président Macron lui donnant déjà raison.
Emmanuel Macron va sortir du restaurant de Broons dans quelques instants les badauds attendent dans le froid, mais excités#EmmanuelMacron pic.twitter.com/JmfpYthrCw
— FB Armorique (@bleuarmorique) 3 avril 2019