« Un trou de vidange est bien prévu à l’origine, mais il est trop petit et se bouche facilement par les pailles et la terre. »
La solution imaginée par Emmanuel a été d’agrandir ce trou et de le doter d’une trappe hydraulique branchée en parallèle avec la vanne de vidange arrière. Sur la route, la trappe est ainsi fermée, et lors de l’épandage, elle s’ouvre en début de vidange, donc dans la parcelle. Le chauffeur gagne en confort.Le pendillard souffrait quant à lui d’un inconvénient pour le chauffeur, au niveau du broyeur répartiteur. Dessous se trouve une poche de couleur bleue, faite à partir d’un morceau de tuyau souple. Elle récupère les corps étrangers (pierres, débris de plastique ou de bois…) et doit être vidée très régulièrement lors de grosses journées.
« L’inconvénient est la hauteur de cette poche qui rend sa vidange compliquée et des projections de lisier possibles. » Emmanuel l’a donc supprimée, pour la remplacer par une vanne guillotine commandée par l’hydraulique du dépliage-repliage du pendillard. En début de chantier, la vanne se ferme pour pouvoir procéder à l’épandage. Au repliage de la rampe, elle s’ouvre et les corps étrangers tombent au sol dans la parcelle.
Astuce parue en février 2015