Après un essai insatisfaisant, la cuma a trouvé le signal RTK qui est disponible sans problème dans toute la zone : du « M2M », par téléphonie mobile mais dans un réseau spécifique. Côté matériel, le volant électrique du début a été remplacé par un asservissement hydraulique, « indispensable » selon Christophe Grandière. Prochaines application de l’autoguidage : semer une association lupin et triticale en deux passages à des dates différentes, et biner du maïs à partir de la cartographie du semis. « C’est la répétabilité du RTK qui nous ouvre ces possibilités ».
Pascal Bordeau, le 02/10/2015